FAUCONNERIE
EFFAROUCHEMENT & CAPTURE
STAGES & FORMATIONS

F A U C O N N E R I E  —  E F F A R O U C H E M E N T  &  C A P T U R E  —  S T A G E S  &  F O R M A T I O N S

Les Faucons de Savoie vous proposent des services d'effarouchement et de capture pour vous débarrasser des espèces envahissantes et susceptibles de causer des dégâts (pigeons, corneilles, corbeaux, étourneaux, canards, mouettes, goélands, etc.). Nous utilisons une méthode d'effarouchement naturelle, efficace et respectueuse de l'environnement à l'aide de rapaces affaités.

Basés à Chambéry, en Savoie (73), nous pouvons également intervenir sur des départements frontaliers comme le Rhône (69), l'Ain (01), l'Isère (38) et la Haute-Savoie (74) et plus largement dans toute la région Rhône-Alpes Auvergne.

Nos prestations sont adaptées à toutes sortes de situations et de besoins pour les milieux urbains (villes, gares, commerces), les agriculteurs (vignes, cultures, maraîchers, pâtures), les sites industriels (usines, entrepôts, ateliers), les monuments historiques, les complexes de loisirs (centres sportifs, stades), les propriétés privées et copropriétés (bâtiments, jardins, parcs), les milieux naturels (y compris zones protégées et classées)...

En parallèle, nous proposons aussi des stages de découverte et d'initiation à la fauconnerie et des formations complètes de fauconnier !

 

Les Faucons de Savoie vous proposent des services d'effarouchement et de capture pour vous débarrasser des espèces envahissantes et susceptibles de causer des dégâts (pigeons, corneilles, corbeaux, étourneaux, canards, mouettes, goélands, etc.). Nous utilisons une méthode d'effarouchement naturelle, efficace et respectueuse de l'environnement à l'aide de rapaces affaités.

Basés à Chambéry, en Savoie (73), nous pouvons également intervenir sur des départements frontaliers comme le Rhône (69), l'Ain (01), l'Isère (38) et la Haute-Savoie (74) et plus largement dans toute la région Rhône-Alpes Auvergne.

Nos prestations sont adaptées à toutes sortes de situations et de besoins pour les milieux urbains (villes, gares, commerces), les agriculteurs (vignes, cultures, maraîchers, pâtures), les sites industriels (usines, entrepôts, ateliers), les monuments historiques, les complexes de loisirs (centres sportifs, stades), les propriétés privées et copropriétés (bâtiments, jardins, parcs), les milieux naturels (y compris zones protégées et classées)...

En parallèle, nous proposons aussi des stages de découverte et d'initiation à la fauconnerie et des formations complètes de fauconnier !

 

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5 QUESTIONS POUR EN SAVOIR PLUS

L'effarouchement à l'aide de rapaces affaités, qu'est-ce que c'est ?

L'effarouchement avec des rapaces est un métier né au milieu du siècle dernier et qui a naturellement découlé de la pratique de la fauconnerie (chasse au vol). Cette activité s'est perfectionnée au fil du temps et a su perdurer, notamment grâce aux possibilités d'action qu'elle offre et à son efficacité inégalée.

Cette méthode d'effarouchement utilise la crainte atavique que développent les animaux lorsque des prédateurs naturels investissent leur territoire. En quelque sorte, on restaure simplement les règles de la régulation naturelle là où elles ont disparues à cause de l'urbanisation, du développement des cultures et des activités humaines.

L'objectif premier de l'effarouchement utilisant des rapaces est de disperser les espèces qui envahissent un territoire donné et qui, de ce fait, posent des problèmes de nuisances, le plus souvent à cause d'une surpopulation. Pour autant, lorsqu'une espèce en particulier est considérée comme "nuisible" dans un lieu donné, elle ne l'est pas nécessairement ailleurs. Par opposition à la chasse, l'effarouchement consiste donc avant tout à "faire fuir" et non pas à "prélever".

L'effarouchement à l'aide de rapaces affaités est une solution naturelle, saine et respectueuse de l'environnement pour gérer les populations d'animaux devenus indésirables. Cette méthode peut ainsi être appliquée dans toutes sortes de milieux.

Pourquoi et quand faut-il effaroucher ?

L'effarouchement est nécessaire pour maintenir l'équilibre démographique des espèces lorsque leur population n'est plus régulée naturellement. Le maintient de cet équilibre est indispensable pour se prémunir contre les dégradations matérielles et environnementales ainsi que contre les risques sanitaires au sein des milieux concernés :

  • Les dégradations matérielles et environnementales concernent des locaux d'exploitation, des bâtiments, des terrains, mais aussi des espaces naturels.
  • Les risques sanitaires concernent la propagation de maladies, de bactéries, de levures fongiques, etc., vers d'autres espèces de la faune ou de la flore, y compris vers l'être humain.

Dans la mesure du possible, l'effarouchement doit être entrepris le plus tôt possible (d'une manière préventive) avant que ces dégradations et ces risques n'apparaissent et afin de prévenir les conséquences négatives (financière et écologique) auxquelles ils aboutissent immanquablement.

Quelles sont les espèces que l'on peut effaroucher et à quelle condition ?

L'effarouchement s'applique exclusivement aux espèces non protégées (sauf autorisation exceptionnelle) et plus particulièrement à celles qui causent des désagréments avérés ou sont susceptibles d'en causer. Il peut, en outre, exister des dispositions particulières pour compléter l'effarouchement par de la capture et/ou du piégeage.

Avant de poursuivre, il est aussi important de bien comprendre qu'aucun animal n'est fondamentalement nuisible. En France, seule une vingtaine d'espèces peuvent d'ailleurs répondre à ce statut temporaire, lorsque ses individus portent directement atteinte à des intérêts protégés par le Code de l'Environnement (santé et sécurité publique, protection de la faune et de la flore, dommages importants aux activités agricoles ou forestières ou aquacoles, dommages importants à des propriétés).

Les espèces considérées comme susceptibles de causer des dégâts dépendent ainsi d'une classification annuelle établie à une échelle territoriale (nationale ou locale) et décrétée par l'administration publique. C'est au ministre chargé de la chasse (classification nationale) ou au Préfet du département (classification locale) qu'il appartient de déterminer, chaque année, quelles espèces sont concernées sur les territoires qu'il administre. Cette décision s'appuie sur des rapports et des études émanant de l'ONCFS, d'organismes publics ou associatifs et sur les réclamations de propriétaires et d'exploitants terriens. Dans tous les cas, le constat des dommages causés par les espèces en question doit être probant et la nécessité de régulation dûment justifiée.

Une espèce peut ainsi être soumise à un décret uniquement au sein d'un département, voire d'un territoire encore plus petit comme une commune ou un terrain privé mais aussi ne l'être que temporairement pour une année particulière ou une période donnée.

Au-delà de cette classification, il peut aussi être envisagé des campagnes d'effarouchement ciblées avec des objectifs définis (y compris sur des espèces traditionnellement non classées en tant que nuisibles) pour, par exemple, régler une situation exceptionnelle dans un lieu précis.

Avec nos rapaces, nous réalisons de l'effarouchement sur les espèces suivantes :

  • Pigeons
  • Corneilles
  • Corbeaux
  • Lapins
  • Étourneaux
  • Canards
  • Goélands
  • Mouettes
  • Autres (nous consulter)

Dites m'en plus sur l'efficacité de la fauconnerie par rapport aux autres méthodes d'effarouchement ?

L'effarouchement à l'aide de rapaces est une technique active dont la dynamique repose sur le comportement intrinsèque des prédateurs. Lorsqu'ils effarouchent, les rapaces exploitent ainsi toute l'entendue de leurs aptitudes naturelles.

Les espèces effarouchées sont alors exposées à un danger de tous les instants. Elles ne peuvent ni le prévoir, ni l'anticiper et, par essence, encore moins s'y accoutumer.

Par opposition aux méthodes conventionnelles comme les leurres mécaniques, les installations répulsives, les crieurs électroniques ou les pulseurs électro-magnétiques, l'efficacité de l'effarouchement à l'aide de rapace ne faiblit pas dans le temps. L'intervention des rapaces peut être réitérée autant de fois que nécessaire. Elle conservera toujours un très haut niveau de rendement et les nuisibles ne s'y habitueront jamais.

Un autre avantage considérable de l'effarouchement à l'aide de rapaces se situe dans son absence d'impact sur l'environnement. Sous la direction du fauconnier, les oiseaux de proie ne dégradent pas les lieux et les installations dans lesquels ils opèrent. Cette méthode ne nécessite pas de recourir à des travaux, ni de toucher aux structures des bâtiments, ni à leurs équipements, ni à leurs aménagements. Elle est transparente et saine et n'a pas d'incidence sur le milieu en dehors de sa cible : Faire fuir et disperser les espèces envahissantes !

Parlez-moi des rapaces que vous utilisez ?

Tous les rapaces que nous utilisons à l'effarouchement sont des oiseaux de fauconnerie. Ce sont donc des individus qui proviennent d'élevages établis en France ou en Europe et issus d'une lignée née en captivité depuis plusieurs générations.

Nos rapaces sont aussi parfaitement affaités. Cela signifie qu'ils ont créé un lien étroit de complicité avec le fauconnier qui les soigne en ayant non seulement appris à voler et à chasser à ses côtés mais aussi à répondre à son appel et à suivre ses consignes.

Ils ne présentent pas de danger pour l'homme, ni pour l'environnement dans lequel l'effarouchement doit être conduit.

On utilise d'ailleurs des rapaces en bon poids de vol mais aussi suffisamment "repus" pour que l'acte de chasse complet ne soit pas leur priorité absolue. Bien entendu, cela n'exclut pas le risque de captures exceptionnelles. Les rapaces restent des prédateurs opportunistes et s'ils ont la possibilité d'attraper une proie facile (vieille, malade, affaiblie ou blessée), ils l'attraperont !

Les rapaces que nous faisons intervenir lors d'une campagne d'effarouchement sont choisis en fonction de la typologie des lieux et de l'espèce à effaroucher. Nous utilisons la Harris, l'Autour des Palombes, les Faucons Gerfaut-Sacre et Pèlerin, la Crécerelle d'Amérique et le Hibou Grand-Duc.

L'effarouchement à l'aide de rapaces affaités, qu'est-ce que c'est ?

L'effarouchement avec des rapaces est un métier né au milieu du siècle dernier et qui a naturellement découlé de la pratique de la fauconnerie (chasse au vol). Cette activité s'est perfectionnée au fil du temps et a su perdurer, notamment grâce aux possibilités d'action qu'elle offre et à son efficacité inégalée.

Cette méthode d'effarouchement utilise la crainte atavique que développent les animaux lorsque des prédateurs naturels investissent leur territoire. En quelque sorte, on restaure simplement les règles de la régulation naturelle là où elles ont disparues à cause de l'urbanisation, du développement des cultures et des activités humaines.

L'objectif premier de l'effarouchement utilisant des rapaces est de disperser les espèces qui envahissent un territoire donné et qui, de ce fait, posent des problèmes de nuisances, le plus souvent à cause d'une surpopulation. Pour autant, lorsqu'une espèce en particulier est considérée comme "nuisible" dans un lieu donné, elle ne l'est pas nécessairement ailleurs. Par opposition à la chasse, l'effarouchement consiste donc avant tout à "faire fuir" et non pas à "prélever".

L'effarouchement à l'aide de rapaces affaités est une solution naturelle, saine et respectueuse de l'environnement pour gérer les populations d'animaux devenus indésirables. Cette méthode peut ainsi être appliquée dans toutes sortes de milieux.

 
 

Pourquoi et quand faut-il effaroucher ?

L'effarouchement est nécessaire pour maintenir l'équilibre démographique des espèces lorsque leur population n'est plus régulée naturellement. Le maintient de cet équilibre est indispensable pour se prémunir contre les dégradations matérielles et environnementales ainsi que contre les risques sanitaires au sein des milieux concernés :

  • Les dégradations matérielles et environnementales concernent des locaux d'exploitation, des bâtiments, des terrains, mais aussi des espaces naturels.
  • Les risques sanitaires concernent la propagation de maladies, de bactéries, de levures fongiques, etc., vers d'autres espèces de la faune ou de la flore, y compris vers l'être humain.

Dans la mesure du possible, l'effarouchement doit être entrepris le plus tôt possible (d'une manière préventive) avant que ces dégradations et ces risques n'apparaissent et afin de prévenir les conséquences négatives (financière et écologique) auxquelles ils aboutissent immanquablement.

Quelles sont les espèces que l'on peut effaroucher et à quelle condition ?

L'effarouchement s'applique exclusivement aux espèces non protégées (sauf autorisation exceptionnelle) et plus particulièrement à celles qui causent des désagréments avérés ou sont susceptibles d'en causer. Il peut, en outre, exister des dispositions particulières pour compléter l'effarouchement par de la capture et/ou du piégeage.

Avant de poursuivre, il est aussi important de bien comprendre qu'aucun animal n'est fondamentalement nuisible. En France, seule une vingtaine d'espèces peuvent d'ailleurs répondre à ce statut temporaire, lorsque ses individus portent directement atteinte à des intérêts protégés par le Code de l'Environnement (santé et sécurité publique, protection de la faune et de la flore, dommages importants aux activités agricoles ou forestières ou aquacoles, dommages importants à des propriétés).

Les espèces considérées comme susceptibles de causer des dégâts dépendent ainsi d'une classification annuelle établie à une échelle territoriale (nationale ou locale) et décrétée par l'administration publique. C'est au ministre chargé de la chasse (classification nationale) ou au Préfet du département (classification locale) qu'il appartient de déterminer, chaque année, quelles espèces sont concernées sur les territoires qu'il administre. Cette décision s'appuie sur des rapports et des études émanant de l'ONCFS, d'organismes publics ou associatifs et sur les réclamations de propriétaires et d'exploitants terriens. Dans tous les cas, le constat des dommages causés par les espèces en question doit être probant et la nécessité de régulation dûment justifiée.

Une espèce peut ainsi être soumise à un décret uniquement au sein d'un département, voire d'un territoire encore plus petit comme une commune ou un terrain privé mais aussi ne l'être que temporairement pour une année particulière ou une période donnée.

Au-delà de cette classification, il peut aussi être envisagé des campagnes d'effarouchement ciblées avec des objectifs définis (y compris sur des espèces traditionnellement non classées en tant que nuisibles) pour, par exemple, régler une situation exceptionnelle dans un lieu précis.

Avec nos rapaces, nous réalisons de l'effarouchement sur les espèces suivantes :

  • Pigeons
  • Corneilles
  • Corbeaux
  • Lapins
  • Étourneaux
  • Canards
  • Goélands
  • Mouettes
  • Autres (nous consulter)
 
 

Dites m'en plus sur l'efficacité de la fauconnerie par rapport aux autres méthodes d'effarouchement ?

L'effarouchement à l'aide de rapaces est une technique active dont la dynamique repose sur le comportement intrinsèque des prédateurs. Lorsqu'ils effarouchent, les rapaces exploitent ainsi toute l'entendue de leurs aptitudes naturelles.

Les espèces effarouchées sont alors exposées à un danger de tous les instants. Elles ne peuvent ni le prévoir, ni l'anticiper et, par essence, encore moins s'y accoutumer.

Par opposition aux méthodes conventionnelles comme les leurres mécaniques, les installations répulsives, les crieurs électroniques ou les pulseurs électro-magnétiques, l'efficacité de l'effarouchement à l'aide de rapace ne faiblit pas dans le temps. L'intervention des rapaces peut être réitérée autant de fois que nécessaire. Elle conservera toujours un très haut niveau de rendement et les nuisibles ne s'y habitueront jamais.

Un autre avantage considérable de l'effarouchement à l'aide de rapaces se situe dans son absence d'impact sur l'environnement. Sous la direction du fauconnier, les oiseaux de proie ne dégradent pas les lieux et les installations dans lesquels ils opèrent. Cette méthode ne nécessite pas de recourir à des travaux, ni de toucher aux structures des bâtiments, ni à leurs équipements, ni à leurs aménagements. Elle est transparente et saine et n'a pas d'incidence sur le milieu en dehors de sa cible : Faire fuir et disperser les espèces envahissantes !

Parlez-moi des rapaces que vous utilisez ?

Tous les rapaces que nous utilisons à l'effarouchement sont des oiseaux de fauconnerie. Ce sont donc des individus qui proviennent d'élevages établis en France ou en Europe et issus d'une lignée née en captivité depuis plusieurs générations.

Nos rapaces sont aussi parfaitement affaités. Cela signifie qu'ils ont créé un lien étroit de complicité avec le fauconnier qui les soigne en ayant non seulement appris à voler et à chasser à ses côtés mais aussi à répondre à son appel et à suivre ses consignes.

Ils ne présentent pas de danger pour l'homme, ni pour l'environnement dans lequel l'effarouchement doit être conduit.

On utilise d'ailleurs des rapaces en bon poids de vol mais aussi suffisamment "repus" pour que l'acte de chasse complet ne soit pas leur priorité absolue. Bien entendu, cela n'exclut pas le risque de captures exceptionnelles. Les rapaces restent des prédateurs opportunistes et s'ils ont la possibilité d'attraper une proie facile (vieille, malade, affaiblie ou blessée), ils l'attraperont !

Les rapaces que nous faisons intervenir lors d'une campagne d'effarouchement sont choisis en fonction de la typologie des lieux et de l'espèce à effaroucher. Nous utilisons la Harris, l'Autour des Palombes, les Faucons Gerfaut-Sacre et Pèlerin, la Crécerelle d'Amérique et le Hibou Grand-Duc.